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Le QMA601 peut être installé seul ou bien avec un système d’échantillonnage, le tout entièrement à l’intérieur de la zone dangereuse (IEC Zone 1 ou 2, NEC Class I, Division 1 ou 2), facilitant d’autant plus son intégration dans un site existant.
L’intégration du QMA601 dans des systèmes de contrôle existants est simple grâce à ses 2 sorties analogiques configurables en sortie courant ou tension. Une communication série Modbus RTU via RS485 est également prévue pour une connexion facile à un SCADA ou tout autre appareil d’acquisition de données similaire. Le fonctionnement de l’analyseur est lui aussi très simple : une interface intuitive et tactile, en couleur, permet aux utilisateurs de surveiller, enregistrer et configurer l’analyseur dans la zone dangereuse, sans qu’il soit nécessaire ni d’avoir un permis de travail à chaud ni d’interrompre le process. Le fonctionnement à partir d’une salle de contrôle à distance est également possible par l’utilisation du logiciel dédié.
L’analyseur peut être alimenté aussi bien en courant continu qu’en courant alternatif. En outre, aucune barrière de protection ou sécurité de mise à la terre ne sont nécessaires, ce qui permet à l’utilisateur d’économiser à la fois sur les coûts de mise en œuvre et de maintenance. Le QMA601 est fourni avec un système de prélèvement de l’échantillon, conçu en interne par les ingénieurs de Michell Instruments et optimisé en fonction de l’analyseur et des spécificités de l’application.
Un avantage supplémentaire du QMA601 est son faible coût d’exploitation. La maintenance requise est peu fréquente, simple avec des pièces de rechange peu coûteuses. Sur 5 ans, le coût d’exploitation d’un QMA601 est inférieur à la moitié de celui de son concurrent direct sur le marché.
L’analyseur est certifié pour des utilisations dans les zones dangereuses du monde entier, avec des accréditations ATEX, IECEx and CCSAUS. Les applications types pour le QMA601 sont celles requérant des mesures précises de traces d’humidité dans les zones dangereuses, telles que la déshydratation au glycol du gaz naturel, le transport et le stockage de gaz naturel, et la déshydratation d’alcène pour la production de polymères.
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